Sujet : Le désir n'est-il pas un perpétuel recommencement ?
La question porte sur la nature du
désir, càd sur la recherche d'un objet que l'on imagine
ou que l'on sait source de satisfaction.
Il s'agit de savoir s'il est
"un perpétuel recommencement",
autrement dit s'il est insatiable, s'il renaît à peine
satisfait, tel le phoenix, oiseau mythique, renaissant de ses
cendres.
Si l'on demande si le désir n'est pas un perprétuel
recommencement et non s'il
l'est, c'est qu'il s'agit
d'examiner la thèse, ainsi présupposée, selon
laquelle le désir est insatiable. Arthur Schopenhauer, entre
autres penseurs, a soutenu cette idée au XIXe siècle.
Bouddha déjà s'en était avisé, qui avait
imaginé tout un dispositif pour en venir à bout en
raison du fait que, impossible à satisfaire, il était
une source constance d'insatisfaction.
En répondant à la
question nous devrions non seulement préciser la nature
véritable du désir, en le distinguant notamment du
simple besoin, mais aussi savoir qu'elle conduite tenir à son
égard. Ainsi doit-on, comme le préconisaient Bouddha et
Schopenhauer, en tarir la source pour éviter d'être
malheureux ou doit-on, au contraire, tirer profit de la stimulation
à laquelle il nous soumet pour faire oeuvre
créative ?
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